"Chemises prétexte" était la proposition faite à 10 artistes -5 allemand(e)s, 5 français(e)s- par Eric Jacob, directeur du Musée textile de Husseren-Wesserling pour une exposition, en 2007.
Après avoir sélectionné environ 150 représentations de la chemise masculine dans l'Histoire de l'Art Occidental (du Portement de la croix de Piero della Francesca, aux Bourgeois de Calais de Rodin), j'avais finalement retenu deux chemises blanches, choisies dans l'œuvre de GOYA :
La peinture : Très de mayo et la gravure n°31 : Voilà qui est fort dans la série
Les désastres de la guerre pour les faire dialoguer avec le fil rouge, la croix et le nœud : fournitures de base de La Mercerie ambulante.
Extraits du carnet préparatoire : Chemises d'hommes. Prêt à porter
de Marie-France Dubromel, pour l'exposition :
Chemises prétexte
Avec l'aimable et involontaire participation de Francisco GOYA
L'installation Chemises d'homme. Prêt à porter
est composée de trois chemises d'homme, blanches, suspendues à des chaînes. Elle sont entourées de 16 pages arrachées à mon carnet d'échantillons, numérotées de 0 à 15, présentées sous cadres.