La poupée de mon enfance, l'unique, celle qui ne m'a jamais quittée depuis Noël 1951, s'appelait "La poupée Françoise". C'était la poupée de "Modes & Travaux".
Chaque mois, le magazine éditait un patron qui permettait de l'habiller.
C'est ma tante Armande, couturière, qui s'exécutait pour mon plaisir, avec les chutes de tissu que lui laissaient ses clientes.
Modes & Travaux, juillet 1954